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"Angels in hell" : GMB Akash fige l'horreur des enfants travailleurs du Bangladesh

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Ces images n’ont de vintage que le côté barbare des années passées, usité dans certaines régions de notre monde malade. Belles, poignantes, elles amènent à l’indignation, puis à la réflexion. Nous avons décidé de vous les montrer, parce que vivre dans le passé, ça ne peut être bien qu’à partir du moment où l’on en conserve que de belles choses.

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Cette série de photographies a été réalisée par le photographe bangladais GMB Akash. Né en 1977 au Bangladesh, ce preneur d’images est diplômé de la Mymensingh Zilla School. Honoré de 70 récompenses pour son travail à ce jour, GMB Akash a été publié dans tous les grands magazines internationaux, du National Geographic à Marie Claire, en passant par The Economist, Geo, Sunday Telegraph, Amnesty Journal et beaucoup d’autres.

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Une série qui s’appelle « Angels in hell* », tout est dit, des mots renforcés par la puissance des photos de ce professionnel de l’image. Révoltants, poignants, durs, ces clichés ne peuvent laisser indifférent. Des instants saisis qui dévoilent les conditions de vie et de travail d’enfants qui commencent à besogner pour certains dès l’âge de 5 ans, un âge où nos bambins occidentaux entament leur dernière année de classe maternelle.

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Salaire de misère, comme la vie volée de ces 7.4 millions d’enfants qui travaillent au Bangladesh. « Le choc des photos » annonçait le slogan d’un grand hebdomadaire français dans les années 70/80 : il est là, avec cesse série bouleversante qui vient de recevoir le Grand Prix décerné par les Neutral Density Photography Awards 2014.

*des anges en enfer

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