Chaussures Bexley : le meilleur rapport qualité/prix

Bexley, un nom court qui évoque le luxe, non sans rappeler Bentley, une certaine marque de voiture anglaise. Des magasins où le bois, le cuir, une façade marron/vert anglais et des teintes de miel rappellent une fois encore le raffinement britannique. Une marque qui, contrairement aux indicateurs qu’évoquent son nom et ses codes n’est pas anglaise, mais française.

Créée en 1985 par un autodidacte : Eric Botton, Bac en poche et une expérience dans l’immobilier, ce dernier a eu l’idée de se lancer dans la chaussure après avoir racheté 3 magasins lyonnais. Il en revend deux mais décide de conserver le troisième pour la beauté de sa façade et de son design intérieur !

Quoi vendre dans une boutique où le bois, le vert et une ambiance « so british » se côtoient ? Des chaussures évidemment. Bexley était née.

Aujourd’hui, 80 personnes travaillent pour la maison lyonnaise. Depuis sa création, l’entreprise ne connaît pas la crise et enregistre chaque année une croissance à deux chiffres ! Les clefs de ce succès ? Un excellent rapport qualité/prix et un système de « double-achat » avec un prix unique pour tous les modèles : 139 euros la première paire et la seconde à 89€ ou 79€ et 59€ pour les chaussures dites « de détente ».

Ajoutez à cela une vente additionnelle qui se fait naturellement une fois sur le point de vente, parce que Bexley, c’est aussi des écharpes, des pulls, polos, chaussettes, montres, parfums, ceintures, sacoches en cuir, pantalons, chemises, boxers et polos, sans oublier bien entendu les ustensiles inhérents à l’entretien d’une belle paire de chaussures : brosses à reluire, cirage, chausse-pieds et embauchoirs.

Des embauchoirs qui, au même titre que les chaussures, se vendent en tarif dégressif : la première paire est à 29€, les deux paires à 39€ et enfin, les 4 paires se vendent à 59€ soit à peine 15€ la paire. Bexley est un excellent compromis pour celui qui aime la qualité de chausse, pour un budget contenu.

L’été dernier, Bexley a lancé 22 nouveautés ! Des modèles qui se déclinent en deux catégories : chaussures de ville et de détente. Pour les chaussures de détente, la première paire est vendue 79€ et la seconde 59€.

Deux modèles ont particulièrement retenu notre attention dans la collection Bexley, qui en compte une centaine : La Dawson et la Hoxton. La première est une chaussure en veau velours marron, une « Chelsea boot » inspirée des sixties et au patronage sobre. Montage Blake, élastiques de côté, languette arrière, réalisée en cousu Blake avec trépointe en cuir, cette Dawson est indémodable et se portera parfaitement avec une paire de jeans claire ou foncée.

Bexley « Dawson » – veau velours marron, montage Blake : 139 euros

La seconde chaussure est également en veau velours, noir cette fois-ci. Il s’agit de la Hoxton, montée sur une semelle en hévéa rouge du plus bel effet. Rappelant la fameuse « Clark », cette Hoxton est classique et branchée à la fois. Si ces deux paires vous emballent, il vous en coutera selon le principe Bexley : 139 + 89 euros soit la somme de 228 euros.

Bexley « Hoxton » – veau velours noir et semelle en hévéa rouge : 139 euros

Pour se procurer les chaussures Bexley, 2 solutions, soit vous vous rendez dans une des 12 boutiques que compte la marque : 6 à Paris, 3 à Lyon, 1 à Marseille, 1 à Annecy et une autre à Bruxelles : voir la liste des magasins en cliquant ici. Soit vous allez directement sur le site Bexley en cliquant ici et vous passez votre commande. Actuellement, Bexley réalise 70% de ses ventes en magasins et 30% via le site web.

Bexley propose une collection automne/hiver variée et riche au meilleur rapport qualité/prix du marché.

Ah un dernier point, important, Bexley propose ses chaussures en demi taille : 40 et 40.5 – 41 et 41.5 etc. Semelles en cuir ou en gommes, avec « cousu Goodyear », ce qui est plutôt rare dans cette gamme de prix.

Philippe Pillon

Fondateur du site MONSIEUR VINTAGE le 14 février 2014, Philippe est issu de la presse écrite automobile : Auto Plus, Sport Auto, Auto Journal, Décision Auto, La Revue Automobile et La Centrale. Il collabore également au magazine EDGAR comme responsable de la rubrique auto/moto.

www.monsieurvintage.com