Motors
Nous avons roulé 1 000 km en Ford Mustang pour aller au musée "Ford Heritage"
Ford nous a invités à un essai presse différent de ceux que l’on connaît habituellement. Essayer la Ford Mustang 2017 dans ses versions Fastback 5.0 V8 de 421 cv et cabriolet équipée du bloc Ecoboost 2.3 4 cylindres de 317 cv, pour se rendre au musée Ford Heritage situé à Dagenham, en Angleterre. Un endroit vintage où les bijoux de la marque à l’ovale sont conservés et entretenus, depuis des décennies. Nous avons même pu essayer une quinzaine de modèles au total, dont la majorité était composée de véhicules totalement rétro. Un voyage vers le passé, que nous avons fait avec délectation.
Retour vers le passé
Ford nous a convié les 16 & 17 mai derniers à un voyage dans le temps. Pas un retour vers le futur mais bel et bien un trip vers le passé, au travers de la visite du musée Ford Heritage, sorte de caverne d’Ali Baba située en Angleterre, à Dagenham.
C’est à bord d’un véhicule bien contemporain que nous nous sommes rendus Outre-Manche : la Ford Mustang Fastback V8 5.0 de 421 cv. Nous avons pu également comparer la version musclée avec le cabriolet équipé lui, du moteur Ecoboost 4 cylindres 2.3 l développant 317 équidés.
La Mustang reste une légende
Nous ne nous attarderons pas sur l’essai même de cette légende vivante qu’est la Mustang (même en millésime 2017) car nous l’avions déjà testée il y a tout juste un an, en juin 2016, pour parcourir 1 400 km à l’occasion du Rallye-Vendée-Classic, un essai complet que vous pourrez retrouver en cliquant sur ce lien.
Mais monter à bord d’une Mustang, même contemporaine (on voit déjà poindre les puristes agacés qui ne jurent que par les versions sixties), relève toujours du mythe. Il nous est donc impossible de faire totalement l’impasse sur le double essai que nous avons pu réitérer à bord de la Mustang, parce que rouler avec nous rappelle à sa légende, à chaque fois.
Un mustang surgit au galop
La version Fastback V8 qui nous attend dans le parking du 17ème arrondissement parisien n’est pas des plus discrètes. Revêtue d’un bleu Nattier électrique, elle est parcourue sur toute sa longueur, du coffre arrière au capot avant, de deux larges bandes Racing bleu marine. Le ton est donné, ne reste plus qu’à voir si le ramage se rapporte au plumage.
Ouverture des portes, un Mustang au galop s’illumine au sol, rétroéclairé depuis la voiture. Le seuil de porte est incrusté d’un « Mustang » éclairé qui rappelle une dernière fois qu’on ne monte pas dans n’importe quelle voiture, mais qu’on s’apprête à chevaucher un cheval (qui en contient 421 sous le capot) qu’il va falloir dompter.
Un V8 au son rauque et puissant
On s’engouffre facilement dans les sièges de cuir confortables qui maintiennent fermement sur les côtés. Petit temps pour trouver le bouton « engine », afin de démarrer sans mettre la clef. Notre version est équipée d’une boîte automatique à 6 vitesses, qui propose un mode normal et un mode « sport ».
À la première accélération, la signature du V8 est bien là. Borborygme puissant et cavalerie bien présente. Notre passage dans Paris n’est pas des plus discrets, par la ligne de l’auto et sa couleur, qu’on aime, ou pas, c’est selon. Mais quand on achète une Mustang, est-ce pour rester dans l’anonymat surtout quand il s’agit de la version V8 ?
Notre galerie d’images Ford Mustang V8 421 cv
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Une américaine à Londres
Nous nous dirigeons vers Calais où nous embarquerons à bord de l’Eurostar afin de rejoindre l’Angleterre. Passage par l’A16 où chaque sortie de péage ne fait que confirmer le passage de 0 à 100 km/h en 4,8 s seulement, arrivée dans le train où notre américaine de 2 mètres de large (rétroviseurs sortis) embarque délicatement afin de ne pas frotter les jantes superbes noires de 19 pouces aux trottoirs étroits des wagons.
Même ses détracteurs seraient sous le charme
Globalement, cette Mustang 2017 est un mythe. Par son nom d’une part, mais également par son moteur V8, définitivement associé au modèle depuis 1964. Puissante, râleuse et dotée d’une vraie gueule, ses détracteurs qui ne la considèrent pas comme une vraie sportive seraient quand même bluffés à son bord.
1 732 kg – 8 cylindres – 421 cv – 250 km/h – 0 à 100 km/h en 4,8 secondes – 14,5 litres aux 100 km
Les 1 732 kg de l’engin sont tout de même amenés à 250 km/h dans un vrombissement digne de gros muscle cars made in US, avec un confort de bonne qualité, assis dans des sièges en cuir qui maintiennent très bien.
Sur autoroute et avec un court passage dans Paris, notre consommation a été de 14,5 litres aux 100 km parcourus, en restant raisonnable avec la pédale d’accélérateur.
La finition globale est bonne. Deux bémols à son bord :
L’absence de poignée passager au plafonnier à droite, ou sur la gauche à hauteur de main en cas d’attaque en virage.
La qualité perfectible des plastiques à bord, en décalage avec le reste de la finition, de très bonne facture. En même temps il faut savoir relativiser, puisqu’un gros V8 à un prix d’entrée de 43 900 euros (38 900 pour la version Ecoboost), ça n’existe pas en Europe. En rapport qualité / prix / performances, la Mustang V8 est aujourd’hui ce qui se fait de mieux, avec une histoire livrée avec et un tatouage indélébile de légende.
Côté performances rien à dire, la voiture est puissante, part vite et fort dans un râle à réveiller un village. Campée sur ses pneumatiques de 255/40/19 à l’avant et 275/40/19 la bête est accrochée à la route.
« Limitée » par la boîte automatique
Propulsion oblige, la Mustang se veut joueuse et glissante quand on l’a sollicite, mais elle est malheureusement limitée à cause de la boîte de vitesses automatique et son électronique, qui ne laissent pas trop la main au pilote, pardon au conducteur, pour réveiller toute sa puissance. Le passage de la 1ère à la 2ème par exemple se veut très (trop) rapide, sans que la voiture ait eu le temps de monter dans ses retranchements les plus bestiaux.
Idem en courbes, où faire partir la voiture en drift n’est pas si évident, alors qu’elle ne demanderait que ça. Ceci dit, en mode « Sport », l’auto devient tout de suite plus joueuse avec des passages de boîte plus rapides.
La V8 en boîte manuelle doit être intéressante à essayer pour comparer le comportement du moteur et la montée en régime sur chaque rapport. Nous prévoyons de le faire d’ici la rentrée de septembre pour vous livrer nos impressions.
Un freinage correct indigne d’une sportive
Le freinage est correct mais indigne d’une sportive. Le poids de l’auto se fait sentir et on devine une usure rapide des plaquettes et des disques s’il s’agissait de « taper dedans » à chaque sortie. En même temps nous ne sommes pas sur circuit, mais sur routes ouvertes où la décence et surtout la loi nous oblige à respecter les limitations de vitesse. Mais sur piste, cette V8 marquerait probablement assez rapidement ses limites de freinage. Là encore, ramenons la prestation au prix de la voiture, car le freinage globalement est bon mais pas celui d’une sportive.
À noter que la suspension (sportive) est rigide, très légèrement « tape-cul en ville » et pas spécialement reposante sur de longs trajets, mais elle est adaptée à la puissance de la voiture.
Malus élevé
Un détail à ne pas négliger avec la Ford Mustang V8 : Le malus. Ce dernier représente la coquette somme de 8 000 euros (la Mustang V8 rejette 299 grammes de CO2 par kilomètre parcouru), soit 18% du prix d’achat de la voiture. À cela, il vous faudra rajouter 160 euros de taxe annuelle.
La version Ecoboost 4 cylindres, que nous avons également essayée, s’en sort mieux. Avec 179 grammes de CO2 rejetés par kilomètre parcouru, la 4 cylindres se voit taxée d’un malus de 3 000 euros (pour la version boîte manuelle), sans taxe annuelle. Si vous optez pour la boîte automatique (2 000 euros de plus), attention : vous devrez également payer un malus de 8 000 euros, en raison du rejet CO2 qui dépasse la barre des 200 grammes de CO2 par kilomètre, avec la taxe supplémentaire annuelle de 160 euros.
La version 4 cylindres Ecoboost de 317 chevaux : le bon compromis
Dès que l’on associe le mot Mustang à « 4 cylindres », l’étonnement se lit sur les visages, ou encore la moquerie quand il s’agit de puristes. Nous avons voulu en avoir le cœur net en montant à bord du cabriolet Mustang, équipé du « petit » bloc Ford.
Une bonne surprise
La majorité des essayeurs vous dira que la Ford Mustang 4 cylindres est le bon compromis et ils auront raison. Plus 2+2 que berline 5 places, la Mustang est d’abord faite pour se faire plaisir. Partant de là, certains ne verront alors qu’une solution : acheter la version V8.
Si votre objectif est de cramer de la gomme à chaque accélération et faire de temps en temps une virée sur circuit, alors oui, prenez la V8, en sachant que vous ne la paierez certes que 5 000 euros de plus comparé à la version Ecoboost, mais vous aurez également 5 000 euros de plus de Malus, sans oublier la taxe annuelle de 160 euros (dont la version Ecoboost est dispensée), le prix de l’assurance et de l’essence.
Si vous voulez une légende pour son look, alors la version 4 cylindres suffira amplement. Nous l’avons essayée, et force est de constater que le moteur est à la hauteur.
1 718 kg – 4 cylindres – 317 cv – 250 km/h – 0 à 100 km/h en 5,8 secondes – 8,5 litres aux 100 km
Assis derrière le volant de la Mustang cabriolet équipée du bloc 4 cylindres, il n’y a pas de changement en comparaison de la version V8, au niveau de l’habitacle. Extérieurement la ligne est plus sage et moins « muscle-car ».
Plus confortable
Au niveau confort, cette 4 cylindres se veut plus agréable, parce que moins radicale. La V8 est équipée d’une suspension sportive, alors que l’Ecoboost dispose d’une suspension moins rigide, plus souple et cela se ressent sur longue distance.
Le moteur de 317 chevaux, même si on le rappelle est un 4 cylindres (oui on sait, c’est un crime de lèse-majesté pour les puristes) s’en sort très bien. Il avale le 0 à 100 km/h en 5,8 secondes, soit 1 seconde de plus que la V8 et propulse la voiture jusqu’à 250 km/h.
L’Ecoboost n’a pas à rougir de son « petit » 4 cylindres
Le bloc incite à une conduite plus souple, donc plus agréable et reposante. En cas de besoin, le turbo fait bien son travail et procure une réelle dynamique à la voiture, qui n’a vraiment pas à rougir de son 4 cylindres.
À l’intérieur et comme sur la version V8, on a bien aimé les comodos, façon « aviation », vintage et sports à la fois.
La capote s’ouvre en une dizaine de secondes, seul bémol, il faut tourner une poignée avant de lancer l’ouverture, détail qui a son importance si on roule seul dans l’auto.
Bilan : Le V8 pour la légende et l’Ecoboost pour le budget
Une Mustang c’est d’abord un moteur, en l’occurrence un V8, tous les puristes vous le diront. Nombre des acheteurs potentiels de l’américaine ne jurent que par lui, d’autant qu’il est fabuleux.
Une Mustang c’est également une gueule. Ford ne s’y est pas trompé en commercialisant son mythe en Europe il y a 2 ans, avec pour objectif d’acquérir une nouvelle clientèle, celle qui aime les belles choses mais qui veut maitriser son budget.
La version Ecoboost répond parfaitement à cette attente, en proposant un 4 cylindres puissant, doté d’un turbo (ce dont le V8 est dépourvu) et proposant des performances intéressantes.
Après la Mustang bien contemporaine, Ford nous propose des essais de modèles vintage
Fort de ce double essai et séduits par cette Mustang commercialisée depuis peu sur le vieux continent, qu’elle soit équipée de 4 ou 8 cylindres, nous avons rallié depuis Paris la ville de Dagenham, fief britannique de la marque à l’ovale.
Destination le « Ford Heritage », musée de la marque conçu en 1931, en même temps que le site de fabrication situé au même endroit. C’est un entrepôt bleu fermé par une large et haute porte coulissante, un endroit presqu’insignifiant vu de l’extérieur.
En son sein, que des pépites dont la plupart sont rares. Toutes les autos sont recouvertes de film plastique, pour mieux les préserver du temps qui passe, en faisant des fantômes d’un autre temps.
Le staff nous accueille chaleureusement dans cet endroit où le temps s’est arrêté. On découvre peu à peu une Ford GT de 2005, superbe dans sa robe blanche et bleue, une Ford Consul, la légendaire Capri 280 (modèle 1986) équipée de son 6 cylindres, une Escort vert pomme, une Granada, Taunus, Fiesta XR2 ou non, de très vieux modèles de la marque démarrant à la manivelle, une Ford RS 200 de 1986, une Escort « Mexico » de rallye, une Sierra Cosworth de 1986, le 1er modèle de la RS 500 et bien d’autres bijoux encore, dont une partie passera entre nos mains pour des essais sur la piste Ford de Dagenham.
Il y a même dans cette caverne d’Ali Baba, une Ford T de 1910, fabriquée aux Etats-Unis, c’est le véhicule le plus ancien de cette fabuleuse collection, qui ne compte pas moins de 100 modèles.
Une magnifique Ford Mustang 1965 trône au « Ford Heritage »
Lors de notre visite, notre regard s’est arrêté sur l’ancêtre de notre modèle d’essai : une magnifique Mustang rouge de 1965, en état restauré exceptionnel par Ford, dont nous vous rapportons quelques images :
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Une ambiance et un charme disparus
Il serait bien trop long de détailler chaque essai des 11 modèles que Ford a eu la gentillesse de laisser entre nos mains, mais tous ont un point commun : l’ambiance. Celle d’une époque révolue où les autos avaient une âme, une odeur et des imperfections.
Rouler à bord d’une Ford Capri, d’une Fiesta premier jus, retrouver les sensations sportives d’une vieille XR2 est une expérience unique qui va au-delà de l’automobile, puisqu’il s’agit de modèles qui portent une histoire, la vôtre, la nôtre, en rapport avec notre jeunesse, celle où nos parents possédaient tel ou tel modèle, rappelant à nos souvenirs que le temps passe vite, trop vite.
C’était mieux avant ?
À cette époque, les autos étaient imparfaites, l’air sifflait à l’intérieur, les vitesses craquaient, les fenêtres se baissaient avec une manette, les volants étaient grands, fins et en bakélite. Les sièges étaient mous, on s’y enfonçait. Les cendriers avaient une utilité, on y mettait nos mégots puis, une fois de temps en temps on les vidait à la poubelle, parce qu’à cette époque -à, on fumait dans sa voiture, même les vitres fermées et on assumait sa dépendance, on ne jetait pas les mégots par les fenêtres, comme aujourd’hui.
Nostalgie et sensations retrouvées
La musique s’écoutait sur un radio cassette, les jantes des autos étaient petites et les pneus étroits, on mettait son clignotant pour changer de direction et pour se diriger, il existait la carte Michelin, ou le patron d’un restaurant qui nous renseignait en buvant un café accoudé au bar.
Toute cette nostalgie, cette époque révolue, nous l’avons retrouvée au volant des anciens modèles que Ford nous a mis entre les mains. Une expérience que nous conseillons à chacun d’entre vous.
Un musée réservé aux professionnels
Malheureusement, le « Ford Heritage » n’est ouvert qu’aux professionnels. Les pépites qui s’y trouvent sont certainement trop fragiles pour qu’on les laisse à portée de mains, comme au Mondial de l’Automobile.
Les essais qui nous ont le plus marqué ont été ceux de la Ford Capri 280, avec son capot interminable et renfermant un bloc V6, la Fiesta totalement dépouillée, minimaliste et tellement mignonne avec ses fauteuils seventies recouverts d’orange et marron, la Fiesta XR2 de 1989 qui n’a rien perdu de sa nervosité et surtout, surtout, la légendaire Ford GT40 de 1964 !
Essai de la Ford GT 40 : 4 fois Championne des 24H du Mans en 1966, 1967, 1968 et 1969
Oui, nous sommes montés dans une Ford GT40 modèle 1964 (126 exemplaires seulement furent fabriqués entre 1964 et 1968). Montés seulement, parce qu’il serait inconscient de laisser les clefs d’une voiture estimée 4 millions de livres (4 millions 620 000 euros) à des quidams, mangeurs de grenouilles de surcroît !
317 km/h en bout de ligne droite
C’est donc aux côtés d’un pilote professionnel Ford que nous sommes montés dans la Ford GT40. Celle qui a gagné les 24H du Mans en 1966, 1967, 1968 et 1969.
La voiture affiche une hauteur de 1m02, est équipée d’un moteur 8 cylindres de 4,7 litres de cylindrée et est capable d’atteindre la vitesse de 197 miles à l’heure, soit 317 km/h. Vitesse que nous atteindrons en bout de ligne droite de la piste d’essai.
Une fois « assis » à l’intérieur (quoique le mot « allongé » serait plus juste), il n’y a que l’essentiel, des nanomètres dans tous les sens, 2 baquets, un moteur. La voiture part comme une balle avant de freiner très fort à l’entrée du « droite » surélevée de la piste d’essai, suivi d’un « gauche » puis d’une longue ligne droite sur laquelle nous atteindrons une vitesse déraisonnable (le compteur est alors bloqué sur 200 miles par heure), avant d’attaquer un long « gauche » surélevé, puis un « droite » avant de rattaquer la ligne droite des « stands » d’où nous sommes partis.
Une expérience unique, inoubliable que nous réitérerons avec une dizaine de modèles Ford.
« Le passé a de l’avenir » est notre slogan. Ford nous l’a confirmé, en nous replongeant dans son passé, et donc le nôtre au travers de modèles vintage attachants et loin d’être ridicules en regard du 21ème siècle. Le vintage n’est pas une mode, simplement parce qu’il nous rappelle à des souvenirs d’enfance et à une simplicité disparue, de plus en plus recherchée aujourd’hui.
Notre galerie d’images du « Ford Heritage »
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Fondateur du site MONSIEUR VINTAGE le 14 février 2014, Philippe est issu de la presse écrite automobile : Auto Plus, Sport Auto, Auto Journal, Décision Auto, La Revue Automobile et La Centrale. Il collabore également au magazine EDGAR comme responsable de la rubrique auto/moto.
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Route 66
05/06/2017 at 11h09
Article sympa mais à rectifier : au regard du barème 2017, tous les malus annoncés sont faux ! (ex : Scud de 10000 euros pour la v8). Merci à nos « élites » autophobes qui diabolisent toujours plus voitures et motos…
Philippe Pillon
08/06/2017 at 15h04
Vous avez tout à fait raison. Nos montants sont ceux de la grille 2016. Concernant la Ford Mustang V8 rejetant 299 grammes de CO2 par kilomètre parcouru, elle se retrouve dans la catégorie des voitures les plus polluantes, avec un rejet >= 191 grammes soit un malus de 10 000 euros (contre 8 000 euros en 2016). Pour la Mustang 4 cylindres Ecoboost ne rejetant « que » 179 grammes, le malus 2017 est à 6 810 euros (contre 3 000 euros en 2016). Merci pour cette précision Route 66.